Amoureux de sport nature, nous accueillons et accompagnons débutants, expérimentés et compétiteurs, en solo ou en famille, dans la pratique de la course d'orientation sous toutes ses formes : à pied, à VTT, à ski, en raid...
Passionnés et engagés, nos bénévoles vous proposent entrainements encadrés pour les adultes, école de C.O. pour les jeunes.
Affiliés à la Fédération Française de Course d'Orientation (FFCO), nous organisons des compétitions officielles en Essonne.

 

 

Les actus du COPS91

Cinquième et dernière journée de compétition en Afrique du Sud, avec, pour finir en douceur pour Hélène et Michel, un sprint au milieu des bungalows d'un lodge du parc Kruger. Récit d'Hélène :

 

Day 5 : Sprint à Hazyview

Ce dernier jour de course se déroule au Kruger Park Lodge à Hazyview. C'est une zone urbaine technique dans l'enceinte d'un golf avec beaucoup de bâtiments au sein d'une végétation dégagée variée, un peu de rochers, et de nombreux points d'eau. La proximité au parc Kruger se fait ressentir dès l'entrée sur la propriété.

 

A 500m d'altitude, l'air et la chaleur sont différents des jours précédents. Malgré les 34°C, nous partons sans camelbag ; nous pouvons bien tenir 25min, non ?
Nous traversons les jardins des particuliers, visitant leur piscine privée. La concentration est de mise pour ne pas s'égarer parmi tous ces petits passages entre les maisons.

 

Je me suis laissée « emmener » par les autres coureurs le long de l'étang entre les postes 2-3. N'ayant pas lu la définition préalablement, je me rend compte en arrivant au nez que je suis passée devant mon poste (à gauche à la sortie du pont).

 

A l'approche du poste 10, le changement de végétation, herbe coupée et hautes herbes (genou), m'a perturbé; n'ayant su faire la distinction, je me base sur les bosquets. A la lecture de ma trace, rentrer une maison plus tard aurait été un meilleur choix pour attaquer mon poste. Du coup, petite déconcentration, l'enchainement des postes 10 et 11 ne sont pas brillants. 

 

Mais je me rattrape sur les postes suivants... jusqu'au poste 20 où la fin de course se fait ressentir : je passe à côté de mon poste.

 

En guise de récupération, nous nous élançons à l'observation des hippopotames. A notre grande surprise, ce n'est pas un hippopotame mais plusieurs, ainsi que des petits qui nous offrent un beau spectacle.

 

En bonus, nous sommes accueillis, en cours de route, par des singes vervets. Quel bonheur d'associer CO, découverte de la nature et rencontres insolites !

Hélène

 

 

Résultats de la cinquième journée :

Classement Copsien(ne) Temps Circuit
4/7 Michel EDIAR 0:31:14 M45 (3,14km)
7/7 Hélène EDIAR 0:32:47 W40 (2,61km)

 

Plus de détails sur le site de l'organisateur

 

 

Quatrième journée de compétition en Afrique du Sud pour Hélène et Michel. Après un premier janvier dédié au repos, la compétition reprend ce 2 janvier avec son lot de nouveautés par rapport aux jours précédents. Récit de Hélène :

 

Day 4: « Normal » distance (long distance raccourcie) à London Plantation

La York Timbers' London plantation est située dans une vallée cachée aux eaux chaudes de la rivière Treur. Les rivières Treur et Blyde se rejoignent en aval du célèbre Bourke's Luck Potholes, un site touristique fascinant.

La plantation forestière est située dans une cuvette de la vallée avec des pentes raides sur trois côtés. L'aptitude au ruissellement est généralement très bonne, mais certaines parcelles ont été récemment abattues et il reste des broussailles sur le sol, ce qui réduit l'aptitude au ruissellement. Certaines parties du terrain découvert présentent des fougères notables.

La carte était très agréable et très intéressante: belles vues, terrain varié avec de nombreux éléments sur lesquels on peut s'appuyer. Malgré un temps plus nuageux que les jours précédents, mes 60cl d'eau du camel bag n'ont pas suffi. Sentant que ma poche à eau était presque vide, j'ai bu 2 verres au ravitaillement au poste 12. Jusqu'au 14ème poste, j'étais plutôt contente de l'enchainement des postes. Mais la traversée de la rivière m'a mis le morale à zéro : impossible de franchir ce cours d'eau profond, sans grosse pierre et large entre 5 et 10m, avec du courant, et ce malgré un serpentage pour trouver un passage ; Seule solution : rebrousser chemin, contourner par le chemin. Cela me fait perdre 30min. Il s'avère qu'au sud de l'avancée, la traversée était plus facile. Le choix de cet inter-poste était donc inéquitable. Michel a traversé une 1ère fois plus au sud pieds au sec, une 2ème fois encore plus au sud avec de l'eau jusqu'aux genoux.

Nous aurons eu juste le temps de récupérer un peu, manger un morceau avant les 1ère gouttes et rejoindre la voiture sous l'orage.

Hélène

 

 

Résultats de la quatrième journée :

Classement Copsien(ne) Temps Circuit
5/7 Michel EDIAR 1:42:55 M45 (6,88km)
6/6 Hélène EDIAR 2:00:25 W40 (5,82km)

 

Plus de détails sur le site de l'organisateur

 

 

Dernier jour de 2019, et, pour ce 3ème jour de compétition, c'est une longue distance qui attend Hélène et Michel. Compte-rendu de Hélène : 

 

Day 3: Longue distance à Waterval Sud

Nous retournons sur la carte du Waterval, mais sur la partie sud cette fois-ci. L'alternance forêt et zone rocheuse offre une belle variété de terrain, et relance le rythme.

En ce 3ème jour de course, je n'ai pas réussi à dompter la boussole. Alors que la main courante des rochers m'a conduit au poste 1, l'azimut des postes 1-2 ave un écart volontaire n'a pas payé puisque je me recale au poste 3. Je ne sais pas comment j'ai fait ma sortie du poste 3 pour aller à la 2, mais j'ai fait un beau 90° (vraisemblablement j'ai pris la 4 pour la 2, puis la dérive de la boussole a fait le reste).

Lors de l'interposte 5-6, alors que je ne vois pas les trous au bord du chemin, les autres coureurs m'attirent vers l'est, mais le relief au loin me fait vite rebifurquer à l'ouest. Je me recale à la dépression visible de loin pour enfin trouver le trou.

L'orientation entre les parties rocheuses fût très plaisante : pas besoin de boussole, la lecture des éléments de reliefs était suffisante.

Malgré le temps plus nuageux, le camelbag a bien servi par ces 25°C. La brume présente par moment était rafraichissante. Nous avons beaucoup moins chaud qu'hier bien que nous étions tout de même trempés.

La journée de repos de demain sera la bienvenue...

Hélène

 

 

 

 

 

Résultats de la troisième journée : 

Classement Copsien(ne) Temps Circuit
5/8 Michel EDIAR 1:33:55 M40 (8,17km)
6/7 Hélène EDIAR 1:35:34 W45 (6,57km)

 

Plus de détails sur le site de l'organisateur

 

2ème jour de compétition en Afrique du Sud pour Hélène et Michel, à Graskop qui se situe aux portes du parc Kruger, au nord du pays, dans les montagnes à 1480m d’altitude. Voici leur récit de cette deuxième journée.

 

Day 2 : Moyenne distance à Waterval Nord

Ce 2ème jour de course se déroule sur le côté nord de la carte du Waterval, à côté du Waterval Spruit (ruisseau) qui coule au-dessus des chutes de Berlin, plusieurs kilomètres en dessous de la carte. Le ruisseau s'écoule sur un rocher plat et dénudé, offrant un cadre pittoresque unique.

Le terrain est une plantation de pinède ouverte avec une très bonne pénétrabilité. De grandes surfaces de prairies et d'affleurements rocheux sont également présents. Il y a de nombreux petits trous dans la forêt, des tranchées minières et des grottes isolées dans les zones rocheuses. La végétation est négligeable, mais certaines zones de prairie peuvent être recouvertes de fougères.

De manière générale, ce tracé ne présentait aucune difficulté. Du fait des sous-bois dégagés, il fallait courir. Mais par 30°C et à 1550m d’altitude, les performances physiques ne peuvent être au rendez-vous.

Toutefois, l’analyse de du trace de course permet de me conforter dans mes dérives. En effet, il est clair que la dérive entre les postes 1 et 2 puis entre 3 et 4, montre un écart de 20° environ.

Ceci a été confirmé entre les postes 4 et 5 où la boussole me demandait d’aller vers la gauche, en direction de la longue zone dégagée, mais voyant la tache jaune de mon poste 5 devant moi, je n’ai pas suivi la boussole et j’ai bien fait !

Michel a eu le même soucis ainsi que des amis du GO78 retrouvés sur place.

Nous voici donc avec un nouvel handicap pour la longue distance de demain !

Hélène

 

 

Résultats de la deuxième journée :

Classement Copsien(ne) Temps Circuit
6/8 Michel EDIAR 1:02:14 M45 (4,45km)
6/7 Hélène EDIAR 0:42:09 W40 (3,79km)

 

 

Plus de détails sur le site de l'organisateur

 

 

 

 

Grâce à Nico, Hélène et Michel passent les fêtes de fin d’année en Afrique du Sud à Graskop pour 5 jours de C.O. Graskop se situe aux portes du parc Kruger, au nord du pays, dans les montagnes à 1480m d’altitude. Voici leur récit de cette première journée.

 

Day 1 : Moyenne distance à Graskop

La carte est un très grand champ de blocs rocheux sur un terrain en pente douce. La végétation dense est presque inexistante car les prairies basses prédominent. Le terrain est extrêmement complexe et l’orientation très éprouvante, particulièrement parmi certaines des formations de piliers rocheux. A peine quelques sentes traversent la zone.

Le temps peut être très variable et la brume peut réduire la visibilité à moins de 50m. Heureusement pour nous, la météo fût clémente. La température monte progressivement, nous ne regrettons pas d’avoir pris nos camelbag.

Après avoir assuré le poste 1, je me recale à l’extrémité du ruisseau avant d’entrer dans la zone rocheuse.

Une erreur de 45° en sortie du poste 3 m’emmène dans au poste 10.

Puis j’enchaine les postes 4-5-6 sans difficulté.

Une lecture de carte pas assez précise me fait confondre les 2 ruisseaux à l’approche du poste 7. Rebroussant chemin pour mieux analyser les mouvements de terrains, je m’aperçois que j’ai traversé le mauvais ruisseau (90° d’erreur).

L’interposte 8-9 ne pose aucun problème ne suivant la main courante du ruisseau et surveillant le coude.

Par contre, je ne sais pas comment j’ai fait la sortie de poste 9. C’est à la lecture de ma trace que je comprends pourquoi je me suis retrouvée dans la zone des postes 11 et 12. J’étais un fourré trop au nord. Les formations rocheuses sont tellement nombreuses et surprenantes que je suis attirée et perds ma concentration dans la zone des postes 11 et 12.

Le terrain était tellement magnifique que nous y sommes retournés pour vous faire partager ce paysage sud-africain. Les balises étaient déjà ramassées.

Une définition que nous avons peu chez nous, mais dont il a fallu s’approprier la cartographie. En effet, seuls les grands affleurements rocheux figurent sur la carte.

Hélène

 

 

Résultats de la première journée :

Classement Copsien(ne) Temps Circuit
4/8 Michel EDIAR 1:21:09 M45 (5,57km)
7/8 Hélène EDIAR 1:26:44 W40 (4,49km)

 

Plus de détails sur le site de l'organisateur