Amoureux de sport nature, nous accueillons et accompagnons débutants, expérimentés et compétiteurs, en solo ou en famille, dans la pratique de la course d'orientation sous toutes ses formes : à pied, à VTT, à ski, en raid...2013 va bientôt partir. Vive 2014.
Et en attendant la nouvelle année le récit de la course sur la butte et le petit mont Chauvet
Montmartre
Le RO Paris et le CDCO 77 étaient donc à la manœuvre pour proposer aux orienteurs les dernières courses de l’année.
Un sprint à Montmartre en soirée pour les premiers et « la 77 » et ses dérivées pour les seconds.
Nous avions hésité à nous inscrire pour Montmartre, sachant que le lendemain nous aurions un gros morceau à avaler.
Visiblement la course a eu du succès car il y eu de nombreux pass orientation pris à l’accueil.
Visiblement la course a eu du succès car il y eu de nombreux pass orientation pris à l’accueil.
Les organisateurs ont même été un peu débordés par le succès. Tant mieux pour la C.O
Plusieurs COPS étaient sur les rangs :
Le couple présidentiel, pourtant annoncé, n’est pas venu ! La réunion à la fédé a du se prolonger.
Courir dans la foule des touristes et des badauds (un peu ébahis de voir tous ces dingos s’agiter autour d’eux) n’est pas toujours de tout repos.
Damodile était d’ailleurs pas trop satisfaite du parcours, pas assez ludique à son goût.
Pourtant il fallait faire attention à quelques balises un peu pièges : la 5 sur le circuit A. la 17 toujours sur le A avec un itinéraire piège !
Le B avait l’air moins palpitant.
De son côté Blandine a adoré le sprint à Montmartre. Ce d'autant que la foule lui fait peur et qu’elle a trouvé les tracés particulièrement judicieux pour l'éviter. Comme elle dit : "Marie-Pierre Coffe de l’AC Beauchamp a fait exactement la même ânerie que moi" (Note Kloug : Et Odile probablement) "de la 19, directos au square sans passer par la case 20 et sans même s'en rendre compte. C'est dans le métro que j'ai revu mon parcours et que j'ai compris".
Côté résultats pas mal de pm. Et c’est Florian un de nos nouveaux licenciés, qui a le meilleur temps chez les messieurs :
JEANNE, Florian Non licencié 39:52
AMMERICH, Marc 9109IF COPS 91 41:49
CONSTANT, Nicolas 9109IF COPS 91 43:17
KORCHIA, Sébastien 9109IF COPS 91 pm
FISCHER, Frederic 9109IF COPS 91 pm
SIRVENT, Frédérique 9109IF COPS 91 45:06
PIERSON, Blandine 9109IF COPS 91 pm
HERVE-JOUSSE, Odile 9109IF COPS 91 pm
De notre côté la rentrée en RER fut épique suite à une défaillance de matériel à la station Châtelet.
Partis de Montmartre à 18 heures nous avons rejoint notre chez nous à 20 h 15 !
Damodile faisait remarquer : "C’est comme dans la semaine et ce n’est pas du repos".
Pour Blandine ayant pris le métro elle fut avant 19h00 chez elle. Depuis la place de Clichy jusqu'à Chatillon-Montrouge, elle a été accompagnée d'un clochard odorant qui lui faisait regretter quelque peu ce choix (pas tant que ça en fait)...
La 77
Nous avons, quand même, laissé quelques plumes dans l’aventure Montmartroise.
Nous ne l’avons pas senti immédiatement mais après trois heures d’effort les escaliers de la butte sont venus se rappeler à notre bon souvenir.
Trois COPS sur le A : El cartografo, Damodile et kloug
Et un sur le B : Sébastien
Damodile avions décidé de partir tôt car l’an passé nous avions mis plus de 5 heures, en frisant la dépose de balises.
Nous avions également pris le parti de le faire à deux.
Départ correct jusqu’à la 5 quand tout à coup Damodile constate qu’elle a perdu le doigt électronique ! Aïe aïe !
Nous cherchons sur les traces où elle est passée, l’objet pendant un bon ¼ d’heure.
Elle a envie de laisser tomber la course pour essayer de retrouver le doigt (sachant qu’il y a une caution).
Les quinze minutes écoulées force est de constater qu’on ne remettra pas la main dessus. En plus des coureurs sont passés par là. J’essaye de la remotiver pour continuer.
Ce moment de déconcentration nous fait perdre le fil de la course au moins sur la balise suivante.
Nous naviguons pendant un temps avec des groupes de coureurs et coureuses, Virginie Blum la présidente de l’ASO Sillery et Angélique Mathieu de l’ASSAP 77 (les pompiers). Cette dernière oubliera de pointer la balise spectacle à mi-course et sera pm.
C’est à ce moment-là qu’Odile a un petit coup de blues et de mou.
Elle ne se sent plus dans la course.
Même chose qu’après la perte de son pointeur, je l’encourage quand même à continuer malgré la fatigue.
Vers la balise 45 proche d’une ancienne carrière de grès, on retrouve Blandine.
Un petit mot de sa part sur la course ;
La 77, ben non y a pas vraiment de choix d’itinéraires, les balises sont trop près les unes des autres ; quand j'ai voulu en faire (comme entre la 63 et la 64 où j'ai décidé de prendre droit dans la pente pour voir), ça ne s'est pas révélé forcément judicieux. C'est trop technique pour moi toute seule : j'ai commencé les bêtises à la 38 (ça ne se voit pas sur la carte parce que j'ai faussement réajusté la trace GPS (note Kloug : voir la carte en fin de récit – désolé pour la taille mais le site Internet du COPS est limitatif), mais j'ai d'abord rendu visite à la balise qui était dans le trou 20m à coté), puis la 41 et je crois me souvenir que c'était comme ça la première fois (l'an passé, j'ai commencé tout de suite, à la 4) aussi. Quand je vous ai vus, j'ai essayé de lutter pour rester seule et puis, un coup devant un coup derrière et plutôt que de dépenser bêtement mon énergie, j'ai trouvé finalement très confortable de rester avec vous. Je l'ai finie, c'était l'objectif. Toute seule, j'aurais mis plus de temps c'est sûr. Ca restera une épreuve assez difficile. Encore merci d'avoir contribué à la réussite de mon objectif.
Pour reprendre le fil du récit à la balise 51 nous sommes tous sous les feux de la charmante photographe du CDCO 77 : Isabelle RORA.
Plusieurs COPS étaient sur les rangs :
Le couple présidentiel, pourtant annoncé, n’est pas venu ! La réunion à la fédé a du se prolonger.
Courir dans la foule des touristes et des badauds (un peu ébahis de voir tous ces dingos s’agiter autour d’eux) n’est pas toujours de tout repos.
Damodile était d’ailleurs pas trop satisfaite du parcours, pas assez ludique à son goût.
Pourtant il fallait faire attention à quelques balises un peu pièges : la 5 sur le circuit A. la 17 toujours sur le A avec un itinéraire piège !
Le B avait l’air moins palpitant.
De son côté Blandine a adoré le sprint à Montmartre. Ce d'autant que la foule lui fait peur et qu’elle a trouvé les tracés particulièrement judicieux pour l'éviter. Comme elle dit : "Marie-Pierre Coffe de l’AC Beauchamp a fait exactement la même ânerie que moi" (Note Kloug : Et Odile probablement) "de la 19, directos au square sans passer par la case 20 et sans même s'en rendre compte. C'est dans le métro que j'ai revu mon parcours et que j'ai compris".
Côté résultats pas mal de pm. Et c’est Florian un de nos nouveaux licenciés, qui a le meilleur temps chez les messieurs :
JEANNE, Florian Non licencié 39:52
AMMERICH, Marc 9109IF COPS 91 41:49
CONSTANT, Nicolas 9109IF COPS 91 43:17
KORCHIA, Sébastien 9109IF COPS 91 pm
FISCHER, Frederic 9109IF COPS 91 pm
SIRVENT, Frédérique 9109IF COPS 91 45:06
PIERSON, Blandine 9109IF COPS 91 pm
HERVE-JOUSSE, Odile 9109IF COPS 91 pm
De notre côté la rentrée en RER fut épique suite à une défaillance de matériel à la station Châtelet.
Partis de Montmartre à 18 heures nous avons rejoint notre chez nous à 20 h 15 !
Damodile faisait remarquer : "C’est comme dans la semaine et ce n’est pas du repos".
Pour Blandine ayant pris le métro elle fut avant 19h00 chez elle. Depuis la place de Clichy jusqu'à Chatillon-Montrouge, elle a été accompagnée d'un clochard odorant qui lui faisait regretter quelque peu ce choix (pas tant que ça en fait)...
La 77
Nous avons, quand même, laissé quelques plumes dans l’aventure Montmartroise.
Nous ne l’avons pas senti immédiatement mais après trois heures d’effort les escaliers de la butte sont venus se rappeler à notre bon souvenir.
Trois COPS sur le A : El cartografo, Damodile et kloug
Et un sur le B : Sébastien
Damodile avions décidé de partir tôt car l’an passé nous avions mis plus de 5 heures, en frisant la dépose de balises.
Nous avions également pris le parti de le faire à deux.
Départ correct jusqu’à la 5 quand tout à coup Damodile constate qu’elle a perdu le doigt électronique ! Aïe aïe !
Nous cherchons sur les traces où elle est passée, l’objet pendant un bon ¼ d’heure.
Elle a envie de laisser tomber la course pour essayer de retrouver le doigt (sachant qu’il y a une caution).
Les quinze minutes écoulées force est de constater qu’on ne remettra pas la main dessus. En plus des coureurs sont passés par là. J’essaye de la remotiver pour continuer.
Ce moment de déconcentration nous fait perdre le fil de la course au moins sur la balise suivante.
Nous naviguons pendant un temps avec des groupes de coureurs et coureuses, Virginie Blum la présidente de l’ASO Sillery et Angélique Mathieu de l’ASSAP 77 (les pompiers). Cette dernière oubliera de pointer la balise spectacle à mi-course et sera pm.
C’est à ce moment-là qu’Odile a un petit coup de blues et de mou.
Elle ne se sent plus dans la course.
Même chose qu’après la perte de son pointeur, je l’encourage quand même à continuer malgré la fatigue.
Vers la balise 45 proche d’une ancienne carrière de grès, on retrouve Blandine.
Un petit mot de sa part sur la course ;
La 77, ben non y a pas vraiment de choix d’itinéraires, les balises sont trop près les unes des autres ; quand j'ai voulu en faire (comme entre la 63 et la 64 où j'ai décidé de prendre droit dans la pente pour voir), ça ne s'est pas révélé forcément judicieux. C'est trop technique pour moi toute seule : j'ai commencé les bêtises à la 38 (ça ne se voit pas sur la carte parce que j'ai faussement réajusté la trace GPS (note Kloug : voir la carte en fin de récit – désolé pour la taille mais le site Internet du COPS est limitatif), mais j'ai d'abord rendu visite à la balise qui était dans le trou 20m à coté), puis la 41 et je crois me souvenir que c'était comme ça la première fois (l'an passé, j'ai commencé tout de suite, à la 4) aussi. Quand je vous ai vus, j'ai essayé de lutter pour rester seule et puis, un coup devant un coup derrière et plutôt que de dépenser bêtement mon énergie, j'ai trouvé finalement très confortable de rester avec vous. Je l'ai finie, c'était l'objectif. Toute seule, j'aurais mis plus de temps c'est sûr. Ca restera une épreuve assez difficile. Encore merci d'avoir contribué à la réussite de mon objectif.
Pour reprendre le fil du récit à la balise 51 nous sommes tous sous les feux de la charmante photographe du CDCO 77 : Isabelle RORA.
Blandine à la balise 51 et Fred qui passera après nous, mais que nous ne verrons pas.
Nous sommes tombons vers la 57 sur un copain d’Ycone, Moise Muller
Un autre coureur se joint à nous
Nous allons naviguer à vue jusqu’à la balise 67 où l’on se regroupe à 6.
Nous terminerons jusqu’à la 76 ensemble. Dans le sprint final c’est moi qui n’ai plus les pattes.
Mais finalement c’était très sympa d’avoir fini ensemble : Blandine, Angélique, Moïse, ?, Odile et moi.
148 FISCHER Frederic COPS 91 H 04:12:54
152 MULLER Moîse YCONE-Sens H 04:24:18
156 AMMERICH Marc COPS 91 H 04:40:33 (on peut compter 4:25 d’après les temps intermédiaires)
157 PIERSON Blandine COPS 91 F 04:44:28
Pm HERVE-JOUSSE Odile
Pm MATHIEU Angélique
Sur 187 concurrents au départ (24 pm)
Et Sébastien qui fait une très belle place sur le B
21/101 KORCHIA, Sébastien 9109IF COPS 91 1:41:06
La carte de Blandine
Et les photos de l'arrivée
? et blandine derrière
Moïse
Damodile et Kloug
Et avec Angélique à la table de ravitaillement
Pour terminer l'article nous vous souhaitons de passer de très bonnes fêtes de fin d'année, avant d'attaquer 2014.
Ah si ! Entraînement samedi 21 n'oubliez pas !
KLOUG
