Amoureux de sport nature, nous accueillons et accompagnons débutants, expérimentés et compétiteurs, en solo ou en famille, dans la pratique de la course d'orientation sous toutes ses formes : à pied, à VTT, à ski, en raid...
Passionnés et engagés, nos bénévoles vous proposent entrainements encadrés pour les adultes, école de C.O. pour les jeunes.
Affiliés à la Fédération Française de Course d'Orientation (FFCO), nous organisons des compétitions officielles en Essonne.

 

 

Les actus du COPS91

L'avant dernière étape est souvent la plus difficile, car les organismes commencent à accuser le coup de l'accumulation des courses.
Heureusement, les organisateurs ont choisi une carte un peu plus facile pour la moyenne distance d'aujourd'hui. Comment vont nos valeureux COPSiens ? C'est ce qu'ils nous racontent, avec le résumé de la course du jour.

 

Effectivement, les courses s'enchaînent et les organismes fatiguent. Heureusement pas de grosses blessures, des éraflures et des ampoules que l'on soigne avant de prendre le départ de la course du jour : une moyenne distance de 4,9 km, 230 m de dénivelé et 22 balises ! C'est le plus grand nombre de balises jusqu'à présent, ce qui laisse penser que la course devrait être plus rapide donc la forêt moins compliquée.

C'est vrai que la carte présente des grandes parties blanches, c'est-à-dire où la courabilité est normalement très bonne, mais comme souvent depuis le début de la semaine, ça cache souvent des zones de cailloux ou des champs de ronce qui ont pris possession des lieux depuis les dernières pluies. Je m'élance donc vers mes premières balises avec directement une course à flanc comme je les aime, qui me permet d'arriver rapidement sur ma seconde balise. Mais encore une fois, l'excès de confiance ne paie absolument pas et sur ma troisième balise, un point d'attaque approximatif et la zone remplie de cailloux et de ronces me font tourner en bourrique. Je reviens sur mes pas pour retrouver le chemin et trouver un véritable point d'attaque et finis par trouver ma balise (en presque 5'). Je ne suis donc pas totalement en confiance quand je réfléchis à mon itinéraire pour aller au poste 4 et je choisis d'aller vers l'est pour m'appuyer sur un muret afin de trouver un layon qui m'approche de la balise. Malheureusement je n'avais pas prévu le champ de ronces à traverser. Pas sûr que cet itinéraire soit vraiment le plus judicieux, mais sur le moment je n'avais pas vu qu'on pouvait également remonter le chemin vers l'ouest, pour prendre un autre layon qui comportait une limite nette de végétation tout près de la balise, ce qui constituait un bon point d'attaque : 


Spirale à la 3 et choix alternatif pour l'interposte 3-4 représenté par les flèches rouges. Quel était le meilleur ?

Pas de problème sur la 5 comme j'avais déjà repéré le chemin et me dirige vers la 6 où je perds quelques secondes à me recaler sur un chemin où j'ai couru trop vite. J'arrive à la 7 qui est un papillon (le premier de la semaine !), c'est-à-dire un poste où je reviendrai plus tard dans ma course, créant ainsi une petite boucle dans le circuit. Cette boucle est située au nord de la carte où la végétation est plus dense et les falaises et zones de lapiaz réapparaissent. Comme pour se souvenir des étapes précédentes… Je commets une erreur dans ma lecture du relief entre la 9 et la 10. Pensant pouvoir faire une course à flanc, je ne vois pas que les courbes s'arrêtent pour représenter un col. J'arrive donc dans une vallée et je ne comprends plus rien. Je remonte le chemin et je comprend que ma balise est de l'autre côté du col. Encore quelques secondes de perdues :


Un papillon !

De même à la 12 où j'ai du mal à lire le relief et préfère me baser sur les intersections de chemins pour attaquer mon poste, quitte à perdre un peu de temps. La fin de la course est relativement propre, où je traverse une partie de la forêt mieux entretenue. Le temps de remonter vers l'arrivée et je termine en 1h19'23” à la 76e place sur 95. Il semblerait que toutes mes petites erreurs et hésitations me font perdre beaucoup de temps sur mes adversaires, mais l'essentiel est de terminer !

Hugo

 

Retrouver des sous-bois courants a été un réel plaisir, et les terrains étaient un peu plus variés que d'habiture, notamment avec cette petite zone de fossés humides.
Pour la première fois de la semaine je rentre bien dans la carte pour les postes 1 et 2 :

 

Mais ensuite, ce seront mes habituels problèmes tout au long de la course. En interpostes : pas très appliqué dans le suivi d'itinéraire, même quand ce sont des chemins. Et quand c'est de la course à flanc, ça va si le flanc est droit mais si le flanc comporte des rentrants profonds et que ça commence à tourner, ça se complique. En attaque : les points d'attaques ne sont pas très précis, surtout après plusieurs minutes à progresser au pif dans les sous-bois. En recherche de balise : il faudrait que je commence à lire les définitions en course, un jour. En sortie de poste : je ne ressors quasiment jamais dans la bonne direction, souvent entrainé par la pente ou par les traces.
Sur les 19 balises, j'en trouve 10 proprement (sans jardiner, en arrivant droit dessus), mais il faut enlever celles où j'ai suivi des concurrents et celles où on m'a recalé quand je commençais à m'égarer en plein interposte.

Nico

 

 

Résultats de la moyenne distance du jour 4

Classement Copsiens Temps Catégorie
59/75 Nicolas CONSTANT 1:21:06  H40 
76/95 Hugo JAEGLER  1:19:23 H21 

 

Plus de détails sur le site de l'organisateur

 

 

C'est reparti pour les trois dernières étapes après une journée de repos bien méritée !

Au programme aujourd'hui, une moyenne distance pour nos courageux COPSiens. La carte utilisée est cette fois au sud de la première étape, très semblable en terme de détails karstiques : des falaises, des zones de lapiaz et des cailloux. De nombreux chemins et petits layons sillonnent la carte, mais ils ne sont pas faciles à voir dans tous les détails de la carte. Est-ce que les COPSiens se sont enfin habitués à ce terrain ou sont-ils tombés dans les pièges de leurs circuits ? Récit :

 

Après la MD de dimanche, on savait à quoi s'attendre, mais on n'est jamais prêt à la difficulté du terrain jurassien. Avant le départ, je sais uniquement que je vais avoir 17 postes pour une distance à vol d'oiseau de 3,9 km et 272 m de dénivelé.

Je me lance donc vers mes premières balises que je trouve relativement facilement. L'interposte 3-4 était très court, il fallait seulement monter la colline et trouver la balise sous la falaise à mi-hauteur de la descente. Sur le papier, rien de difficile, mais l'excès de confiance se paie immédiatement et je passe du mauvais côté de la falaise et dois me recaler au chemin qui passe en contrebas et remonter sur mon poste. Quatrième poste et déjà des minutes de perdues… Surtout que je me fais doubler par des élites, tels des avions de chasse, qui sont sur mon parcours. Je me demande comment ils font pour être aussi précis à ces allures !
Je continue mon parcours sans me déconcentrer et en essayant de ne pas confondre les falaises et les chemins sur la carte. Arrivé à la balise 8, là encore, très simple sur le papier : une butte à mi-hauteur d'une pente. Seulement, la végétation et le relief m'ont perturbé et je dois m'y prendre à deux fois pour trouver ma balise au milieu d'une futaie de hêtres.
Je repars à l'attaque… pour me planter directement sur la balise d'après. Je ne comprends pas la carte, je vois des éléments très caractéristiques, mais je ne trouve pas le rocher derrière lequel est cachée ma balise ! Finalement, un élite-avion de chasse passe en coup de vent et m'aide à trouver ma balise. Je suis déjà à 50 minutes de course et je suis seulement à la moitié…

 

Je m'accroche et me dirige vers le groupe de balises suivantes, qui vont également me donner du fil à retordre puisqu'elles sont situées dans une zone de lapiaz et de mini-falaises d'environ 1,50 m et les postes sont au pied d'une de ces falaises. Pour le poste 11 notamment, j'ai été perturbé par la définition du poste qui précisait : “au pied de la falaise de 1,8 m la plus au nord-est”. Seulement dans le rond sur la carte, il y a au moins cinq falaises et je n'arrive pas à savoir laquelle est la plus au nord-est ! Je passe donc plusieurs minutes à chercher au mauvais endroit jusqu'à ce que je me décide de faire marche arrière jusqu'au chemin pour réattaquer ma balise et que je tombe dessus.
A ce moment-là, j'ai dépassé l'heure de course et il me reste cinq balises ! Celles-ci sont relativement proches et je m'y dirige par des layons qui sont devenus des chemins avec tous les coureurs qui les ont parcourus (voir même des layons qui ont été créés par tous les coureurs qui les ont parcourus).
Par chance, j'arrive à enchaîner les dernières balises, un rentrant sur une colline, une course à flanc et la descente sur l'arrivée. Je mets seulement 6 min pour les cinq dernières balises et le couloir d'arrivée ! Étonnement surpris de mon temps à l'arrivée : 1h18'41” après toutes les approximations et les galères que j'ai eues sur le début du parcours. Je finis 68e sur 97.

Hugo

 

Encore une course difficile : mes itinéraires sur chemins ne sont pas 100% clean car j'ai dû mal à lire les chemins sur la carte (trop de falaises qui se confondent avec des traits de sentiers). Et mes itinéraires hors chemins, d'élément en élément, sont chahutés par le relief incessant et le sol très technique. Sur les chemins je vais souvent trop loin. Sur les sorties de poste la pente m'entraine et je ne respecte pas mon azimut de sortie. Au final je ne suis jamais où je pense être, et je passe mon temps à me recaler ou me faire aider.

Sur cet interposte 8-9-10-11, je rate complètement le très court 8-9 en voulant naviguer au relief. Il y a pourtant un flux de coureurs qui converge vers la 9 commune à beaucoup de circuits, mais moi, obstiné, la cherche plus au sud. Quant à 9-10-11, c'est mon seul bon enchainement, où j'ai réussi à déchiffrer les chemins et les suivre correctement.

 

Nico

 

 

Résultats de la moyenne distance du jour 3

Classement Copsiens Temps Catégorie
60/78 Nicolas CONSTANT 1:34:47 H40
68/97 Hugo JAEGLER 1:18:41 H21

 

Plus de détails sur le site de l'organisateur

 

 

Deuxième journée de cette semaine O’France, ce lundi 19 juillet, avec un programme chargé : la longue distance !

Toujours aux Crozets, les organisateurs ont réussi la prouesse de garder la même aréna sur les 5 étapes. Après les déboirs d’hier, nous appréhendions cette longue distance et nous n’avons pas été déçus, avec une course exigeante mentalement et physiquement, surtout avec le mercure qui grimpait au fur et à mesure de la journée. Récit par nos envoyés sur place : Hugo et Nico.


La course du jour se déroulait sur la carte située au nord de celle de la veille, très semblable, elle présentait un peu plus de chemins, mais toujours des falaises et des mouvements de terrain parallèles entre eux.

La course promettait d’être longue ! Effectivement, j’avais deux fois plus de distance que la moyenne distance de la veille (9,3 km) pour autant de dénivelé (370 m) et autant de balises (21). La course a démarré pour moi par cinq balises côte à côte, enchaînées sans trop de problème, pour une mise en jambe en douceur, comme quand on se mouille la nuque avant de se jeter dans l’eau d’un long interposte 5-6 qui traversait la carte de part et d’autre. Commence donc la partie "trail" avec mon choix d’itinéraire de 2430 m parcourus entre ces deux postes. Arrivé au nord de la carte par quelques balises, s'ensuit un nouveau long interposte 9-10 de presque 2000 m encore, en passant par des champs. Rebelote sur l’interposte 11-12 où je fais ma première grosse erreur : je me trompe de croisement pour faire mon saut entre deux gros chemins ce qui fait qu’au lieu d’arriver sur le deuxième, je tombe sur le premier. Je mets quelques dizaines de mètres à m’en rendre compte et à demander mon chemin. Je dois donc improviser un plan B pour retourner à ma balise et cours finalement 1625 m entre ces deux postes.


Détail de l’interposte 11-12, en rouge, ce que je prévoyais de faire.

Pas de problème sur les balises suivantes… jusqu’à l’interposte 14-15, avec une portion de plus de 1600 m. Au poste 15, plusieurs personnes cherchent déjà la toile qui n’est pas facile à trouver dans un entrelacs de ronces et un sol karstique qui se dérobe sous les picots. Heureusement une personne finit par la trouver et débloque la situation de tout le monde. A ce moment de la course, j’arrive au bout de ma gourde et je commence à être bien cuit physiquement. Cela se voit sur les allures de course qui commencent doucement à diminuer et il me reste encore cinq balises ! Dont un dernier long interposte 16-17. Je décide de prendre la route, ce qui est un peu plus long, mais moins risqué… sauf qu’à nouveau je me trompe de carrefour et bifurque plus loin que ce que je voulais faire. Je m’engage dans un plan B, mais je me rends compte au bout d’un moment que rien ne correspond à mon itinéraire. Après avoir demandé mon chemin, je me rends compte que j’étais parti de la bonne intersection de mon plan A, mais que je m’étais éloigné de la balise car je pensais devoir suivre mon plan B.

 

Bref, j’arrive à ma balise 17, je suis exténué et je dois encore faire 2 balises à flan (horrible pour les appuis) puis contourner un lac éphémère que les organisateurs avaient hachuré en zone interdite. Pas de repos sur la fin de la course où de nombreuses erreurs étaient encore possibles. Je m’accroche pour la dernière balise et la montée vers l’arrivée. Je termine en 1h34’44” à la 57e place sur 95. On remarque que je fais globalement le double de temps qu’hier, mais sensiblement la même place. Tout le monde a donc galéré aujourd’hui, sauf le premier qui met… moitié moins de temps que moi. On notera aussi que si j’ai demandé mon chemin par deux fois, j’ai rarement vu une course avec autant de monde de perdu, j’ai dû recaler au moins 5 ou 6 personnes (et pas que des enfants). Place à la journée de repos pour demain et à mercredi pour une nouvelle moyenne distance.

 


carte globale avec la trace

Hugo

 

Je voulais faire moins de 2h30 mais la difficulté et la chaleur en ont voulu autrement. 

Contrairement à Hugo et ses 5 longs interpostes, je n'ai eu que 3 longs interpostes à gérer. (Les longs interpostes sont le "sel" de la longue distance, car il faut décider d'un cheminement de plusieurs kilomètres en  quelques secondes, puis éxécuter l'itinéraire pendant de looongues minutes).

De nombreux chemins étaient dispos pour s'approcher de la prochaine balise et pour se recaler, ce qui a rendu la planification et l'éxécution de ces longs interpostes très intéréssants et peu stressants, car il y avait toujours un plan B comme le dit Hugo.

 Après un interposte 4-3-4 (en cherchant la 3 j'ai été trop loin, j'ai trouvé la 4 d'abord), mon premier long interposte 4-5 ne proposait pas beaucoup de choix différents (enfin pour mon niveau !) Mon but était de quitter la 4 pour retrouver un chemin le plus tôt possible, puis de rejoindre la piste goudronnée avant le poste secours.

 

Après ce long interposte, pas de problème pour trouver la 6.
Par contre, mauvaise sortie de poste pour aller à la 7, je pars vers l'ouest de la carte ayant du mal à me recaler. J'arrive au bord de l'immense falaise avec vue imprenable sur la région. Sortie de carte interdite, sinon game over !
Quant à la 8, ce gros détour est je pense dû au fait que j'ai raté ma recherche de point d'attaque. Je cherchais où sortir de ce beau sentier bien roulant afin de piquer au sud vers la 8, mais je suis arrivé d'un coup sur la route ! Heureusement, un peu plus loin, un sentier menait de la route à la 8, alors j'ai opté pour ce détour, plutôt que de faire demi-tour et rechercher à nouveau un point d'attaque sur le sentier précédent.

 

L'interposte 8-9 était super intéréssant car plusieurs choix (enfin pour mon niveau !).
- Un itinéraire par le sud que je n'ai pas pris, car la méthode d'établir son itinéraire en partant de la fin ne le rendait pas évident.
- Un itinéaire au nord 100% chemin qui faisait remonter très haut vers la zone hachurée. 
- Et un itinéraire plus audacieux qui demandait une coupe à travers forêt, avec + de dénivelé, en suivant un murêt sur quelques centaines de mètres.

 

A partir de la 11 jusqu'à la 15 c'est une fin de course laborieuse : normal après 2h30 d'effort la lucidité manque !

Nico

 


Heureux d'en avoir fini !

 

Résultats de la longue distance du jour 2

Classement Copsiens  Temps  Catégorie 
57/96 Hugo JAEGLER  2:34:44  H21
66/76 Nicolas CONSTANT 2:42:50 H40

 

Plus de détails sur le site de l'organisateur

 

 

Cette fois c'est parti pour de bon !

Après la mise en bouche d'hier avec le prologue en ville, passage aux choses sérieuses avec la première étape de cette semaine O'France.

Au menu pour nos deux valeureux COPSiens, une moyenne distance.

Le Jura a-t-il tenu toutes ses promesses ? Réponses avec les récits de courses de Hugo et Nico.

 

On nous avait prévenu, les terrains jurassiens sont difficiles, avec beaucoup de falaises, de rochers et surtout des mouvements de terrain parallèles. De sorte que l'orienteur ne sait jamais bien dans quel rentrant, dans quelle dépression il se trouve. Ajouté à cela des micro-reliefs avec une équidistance des courbes de niveaux à 5 m, voici le terrain typique du Jura.

Je me suis vite rendu compte qu'avec autant de détails sur la carte, on se perd très vite et il est extrêmement difficile de se recaler. Donc lecture de la carte très précise obligatoire pour se situer constamment, à chaque croisement, à chaque falaise, à chaque dépression. Mais alors impossible de courir tant il faut être précis dans la lecture de carte et faire attention aux trous, aux cailloux et aux branches par terre.

En résumé, une course très assurée, mais très lente. Mes seules erreurs sur la course sont lorsque je me laisse entraîner par les autres concurrents et que je ne vois pas les embranchements de chemins et lorsque je commence à douter et que je ne vais pas assez loin pour chercher mon poste. Sur mon parcours de 4,7 km et 260 m de dénivelé il y avait 20 balises. Je fini en 1h26'48” à la 54e place sur 95, bien loin du premier et de ses 39'...

 


carte globale avec la trace


détail de la carte


détail annoté

Rendez-vous demain pour une longue distance qui promet d'être encore plus exigeante !

Hugo

 

Les retours des premiers concurrents nous avaient pourtant prévenu : sale, technique, peu courant...

Je rate mon entame en jardinant sur la première balise. Vexé, j'enchaine la 2 en tirant tout droit sur le trait rouge, je franchis deux falaises, tant pis ça ralenti mais au moins je sais où je suis.

 

Surement dû à un mauvais pliage de carte, au sortir de la 5 je vais directement à la 7 : PM

 

Changement de stratégie pour la 12. J'en ai marre de monter tout droit à travers les falaises, je choisis le grand détour par les différents chemins. Ca monte bien, en plus.

 

L'erreur conne à la 13. Je cherche la 98. En arrivant dessus, je lis de loin le numéro : 86. C'est pas la bonne, je repars, et quand je reviens dessus on me confirme que c'est la 98. J'avais lu le numéro à l'envers...

 

Conclusion pour la longue distance de demain : s'appuyer sur les chemins le plus possible quitte à faire des détours, et naviguer très prudemment, de gros élément en gros élément, entre les chemins.

Nico

 

 

 

Résultats de la moyenne distance du jour 1

Classement  Copsiens Temps Catégorie
54/95 Hugo JAEGLER 1:26:48 H21
PM Nicolas CONSTANT - H40

 

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Nous l'attendions, nous trépignions, voici le retour de l'une des plus populaires compétitions de course d'orientation organisées en France : la semaine O'France !

Tu connais pas ? Mais si ! Les O'France ce sont cinq étapes de course d'orientation, trois courses moyenne distance et deux courses longue distance sur une semaine. Tu te souviens peut-être de l'édition de 2019 dans les Hautes-Alpes que tu avais pu suivre sur le site ! Hé bien, deux ans après, c'est le retour des O'France, dans le Jura, organisés par les clubs Jura Sport Orientation et l'AS Quetigny.

Comme toujours, le COPS se devait d'être représenté, nous avons donc envoyé une cohorte comportant l'impressionnant nombre de… deux personnes : Nico et Hugo. Cette année les cinq étapes sont précédées d'un prologue qui a justement eu lieu ce samedi 17 juillet sous forme de sprint à Moirans-en-Montagne. Récit par Hugo, en observateur, et Nico :

 

Les O'France dans le Jura, comment ne pas y participer ? C'est une région que je connais bien, bien que je n'y ai pas couru souvent. J'ai donc hâte de voir ce que nous réserve cette semaine de compétition ! Celle-ci débute d'ailleurs par un prologue et grosse déception, à cause d'un bug informatique situé entre le clavier et la chaise, je n'ai pas été inscrit sur ce prologue. Mais c'est pas grave, on va encourager Nico qui part en tout début d'après midi pour un sprint dans le centre-ville de Moirans-en-Montagne, 3,8 km et 20 balises à trouver. La première partie se situait dans une zone résidentielle où les choix d'itinéraire étaient importants puis les coureurs s'orientaient vers le centre ville où les détails étaient plus prépondérants et la lecture de carte devait être plus lente et plus assurée. Nico a donc visité successivement le Colruyt, un hall, une église et une cour d'école avant de trouver l'arrivée devant le musée du jouet où je l'attendais. Il finit en 23'19 à la 37e place sur 50 partants. On a maintenant hâte de commencer demain les véritables courses en forêt !

Hugo

 

Je suis parti pied au plancher et j'aurais fait un bon résultat si j'avais pû maintenir cette cadence. Aucune grosse erreur, une ou deux petites hésitations... Cette fois-ci c'est la vitesse de course qui a péché, même si d'après ma montre j'avais une vitesse supérieure à mes footings du dimanche. Le niveau est relevé à O'france !

Nico

 

 

Résultats du prologue

Classement Copsien(s) Temps  Catégorie 
34/50 Nicolas CONSTANT 23:19 H40

 

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C'était à Jouy-en-Josas (78) que le rendez-vous était donné pour la dernière étape du trophée de SQY.

5,5 copsien(nes) se sont déplacés, que se soit pour découvrir l'activité, se faire plaisir, retrouver la compétion ou jouer le classement final.
Pourquoi ce demi adhérent ? Parce que la famille Pardo était présente en force, avec Pep, Noé et... Alice qui nous rejoindra peut-être bientôt ?

 

 

Résultats de l'étape 4

Classement Copsien(ne)  Temps  Circuit 
11/45 Nicolas CONSTANT  1:11:12 
19/44 Pierre-Emmanuel PARDO  1:18:57 A
28/38 Emmanuel LOISON 1:37:26 C
30/44 Hugo JAEGLER 1:35:15 A
non classée Alice PARDO 1:03:06 C
pm Noé PARDO - C

 

Classement Général

Classement Copsien(ne)  Catégorie  Etapes disputées Total Points 
4/27 Justine ROY  Dame Seniors  2 117,78
6/38 Hugo JAEGLER  Homme Seniors  3 206,12
11/38 Thomas DESREZ Homme Seniors 2 162,53
12/100 Pierre-Emmanuel PARDO  Homme Veterans 3 187,25
14/14 Noé PARDO  Homme Juniors  2 041,77 
18/27 Anne CROUSSE Dame Seniors  1 054,03
20/26 Alice PARDO Dame Seniors 1 0
27/100 Emmanuel LOISON Homme Veterans 3 159,19
55/100 Nicolas CONSTANT Homme Veterans 1 092,25
73/100 Jacques LECLERC Homme Veterans 1 070,03

 

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